Tears of dust

In the realm of shadows, where secrets remain, a swirling wind stirs up dust, Shards of life untold, Where cries of pain mingle with debris. Oh, unjust sorrows, like rivers gently poured, From the depths of time, where anguish finds its bed, In silent valleys, where the soul retreats, A story unfolds as grief's song repeats. Every speck of dust contains a story, The weight of injustice etched into the skin, Loaded with slow memories of love and conflict, They dance in the twilight, like remnants of dreams. Great cities crumble under the excessive weight of their decadent fires, Cities once full of grace, are now lost, In ancient lands where only ruins lie, Their dusty tears sway in the wind. In every drop, worlds collide, Forming an ancient dance of sorrow and reparation, Fleeting moments lost in time's embrace, A symphony of desire, leaving no trace. Falling dust tells stories never before told, Of broken dreams, of promises gone cold, Yet in each of these tears, a glimmer of hope, And the infinite frame of life. For in these tears, sorrows are set free, And through their pain, feelings of peace are born, So let us taste these tears of dust that we weep, To find the strength to rise again and keep the courage. They speak of absurd battles and battered lives, Abandoned hopes and stifled dreams, In every speck of dust, a saga is etched, Anguish and joy expressed forever. They fall gently, like delicate memories, Each tear tells a forgotten story, They soak into the earth, a silent lament, Seeking redemption in the world's embrace. But let's not dismiss these tears as mere debris, For through their whispers, wisdom will rise, Reminding us that our humanity is all about sharing, Of resilience that lies deep in our eyes. So when you see these tears of dust, Let them touch your soul, Let them sparkle, For in their presence, the past is revealed, And in each drop the essence of a promise, the strength to reinvent.

Larmes de poussières

Dans le royaume des ombres, où les secrets demeurent, un vent tourbillonnant soulèvent des poussière, Formées de fragments de vie non racontées, Où les cris de douleur se mêlent aux débris. Oh, les chagrins injustes, comme des rivières doucement versées, Des profondeurs du temps, où l'angoisse trouve son lit, Dans les vallées silencieuses, où l'âme se retire, Une histoire se déroule alors que la chanson du chagrin se répète. Chaque grain de poussière renferme une histoire, Le poids d’une injustice gravé à même la peau, Chargées de lent souvenirs d'amour et de conflits, Elles dansent au crépuscule, comme des vestiges de rêves. Les grande cités s’effondre sous le poids excessif de leurs feux décadent, Des villes autrefois pleine de grâce, sont aujourd'hui perdues, Sur ces terres anciennes où ne gisent que des ruines, Leurs larmes de poussière se balancent dans le vent. Dans chaque goutte les mondes s'entrechoquent, Formant une danse ancienne agitant les chagrins et les réparations, Les moments fugaces, perdus dans l'étreinte du temps, Une symphonie de désir, ne laissant aucune trace. La poussière qui tombe raconte des histoire encore jamais contée, De rêves brisés, de promesses devenues froides, Pourtant, dans chacune de ces larmes, une lueur d'espoir, Parvient à éclairer avec force, le cadre infini de la vie. Car dans ces larmes, les chagrins se libèrent, Et à travers leur douleur, naissent des sentiments de paix, Alors goûtons ces larmes de poussière que nous pleurons, Pour trouver la force de se relever et garder le courage. Ils parlent de batailles absurdes et de vies malmenées, D'espoirs abandonnés et de rêves étouffés, Dans chaque grain de poussière, une saga est gravée, Les angoisses et les joies exprimées à jamais. Elles tombent doucement, comme de délicates souvenirs, Chaque larme raconte une histoire oubliée, Elles s'imprègnent dans la terre, une complainte silencieuse, Cherchant la rédemption dans l'étreinte du monde. Mais ne considérons pas ces larmes comme de simples débris, Car à travers leurs chuchotements, la sagesse s'élèvera, En nous rappellent que notre humanité n’est faite que de partage, De résilience qui se trouve tout au fond de nos yeux. Alors, quand vous verrez couler ces larmes de poussière, Laissez-les toucher votre âme, laissez-les faire des étincelles, Car en leur présence, le passé se dévoile, Et dans chaque goutte l’essence d’une promesse, la force de ce réinventer.